19 octobre – Tous ensemble contre la pauvreté

La Conférence des solidarités est une instance de concertation qui regroupe une quinzaine d’associations de solidarité et des droits de l’Homme de Quimper et du pays de Cornouaille*.

Le 19 octobre 2019, dans la continuité de la journée mondiale de lutte contre la misère, la Conférence des solidarités vous propose :

Matin (9h30-13h00) : Place Terre au Duc à Quimper
• 9H30 – 13H00 : Stands des associations « place Terre au Duc »
• 10h30 – 11h00 : Interventions sur la journée + chants de la chorale • 11h00 – 13h00 : Marche pour rendre « Visibles les Invisibles »

Après-midi (14H-17H00) : salle des Halles Saint-François à Quimper
• 14h00-14h15 : Intervention sur la démarche de la conférence des solidarités et de l’organisation de la table ronde
• 14h30-15h15 : Intervention de Monsieur Stéphane MARTIN (Fondation l’abbé Pierre) • 15h15-15h30 : 3 témoignages (Emmaüs-association écrire-CLCV)
• 15h30-16h15 : Table ronde composée de Madame la Députée, un représentant de l’État (DDCS), un élu départemental, le maire de Quimper
• 16H15-17H00 : Débat avec la salle

Soirée (19H00-23H00) salle Sainte Thérèse, Espace Santig Du – rue Michel Le Nobletz
• Intervention pour remercier les participants
• Repas partagés (apporter son pique-nique) + musique d’ambiance + expositions

* Secours Catholique, Horizons Nouveaux, EMMAUS, SOS Famille EMMAUS, Habitat et Humanisme, le CACE Entraide (Centre d’Animation du Centre Evangéliste), la CLCV, la Ligue des droits de l’Homme Quimper, Cent Pour Un Toit Cornouaille, Droit d’Asile Quimper Cornouaille, la Croix Rouge, La CIMADE et l’UNADEL (Union Nationale des Acteurs du Développement Local)

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La LDH en congrès

Du 8 au 10 juin 2019, la Ligue des droits de l’Homme a réuni ses délégués, représentants des sections, fédérations et comités régionaux lors de son 90e congrès national, à Saint-Denis.

Retrouvez ci-dessous plusieurs vidéos des différentes interventions :








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Conférence sur les libertés publiques et le droit à manifester

Le gouvernement a décidé de reprendre à son compte la proposition de loi de Bruno Retailleau adoptée au Sénat le 23 octobre 2018, imaginée dans le cadre de la lutte contre les Black blocs, et, étendu depuis pour « prévenir les violences lors des manifestations et à sanctionner leurs auteurs ».
Alors que la France dispose d’un arsenal législatif déjà des plus répressifs, ces nouvelles mesures votées en première lecture le 5 février 2019 seraient adoptées définitivement si le Sénat venait à voter ce texte sans le modifier le 12 mars 2019. Les députés n’auraient plus leurs mots à dire. Cette loi porterait gravement atteinte aux libertés publiques de toutes et tous.

Ce serait une résurgence de la loi anticasseurs de 1970, de sinistre mémoire et abrogée en 1981. Cela marquerait un changement d’attitude grave avec le pacte républicain s’appuyant sur la possibilité d’une répression inspirée des dispositions de l’état d’urgence dont le passage dans le droit commun ébranle déjà l’Etat de droit. Ce projet écarterait toujours plus la justice au profit de pouvoirs administratifs exorbitants portés notamment par les Préfets. Fichage des manifestants, interdiction individuelle de manifester, obligation de pointage, sont autant de signes de la poursuite d’une logique de suspicion généralisée et de contrôle social avec le risque de dévoiement des procédures et d’arbitraire. Une justice déjà mise au pas avec le renforcement récent du rôle du procureur par la nouvelle loi sur la réorganisation de la Justice, renforcement au détriment des juges du siège, du juge des libertés par manque cruel de moyens.

La Ligue des droits de l’Homme dénonce ces restrictions au droit de manifester et ces lourdes menaces qui pèsent sur les libertés d’opinion et d’expression des oppositions. Elle demande aux parlementaires notamment Finistériens d’agir pour le retrait de la proposition de loi.

Vu le contexte et sans attendre, la LDH de Quimper-Cornouaille envisage de renforcer son « Observatoire des libertés publiques », de solliciter les citoyens pour constituer et mettre à disposition des organisateurs des « Observateurs des libertés » pour suivre les manifestations, de développer son réseau des acteurs juridiques pour défendre toutes personnes atteintes dans ses droits à manifester en toute sécurité, de mettre en place des formations pour anticiper les conséquences de la nouvelle loi.

Les Quimpérois sont invités à participer à la Conférence sur les Libertés Publiques et le droit à manifester, organisée par la LDH Quimper-Cornouaille, le Jeudi 7 mars 2019 à 20 heures à la MPT de Penhars- Salle associative – 39, Boulevard de Bretagne – 29 000 Quimper

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Les 120 ans LDH

La LDH est forte de 8 783 adhérents et 291 sections en 2017 avec une section de Quimper de 52 adhérents au 31/12/17.

Elle fête donc ses 120 ans et les 10 ans pour la renaissance de la section de Quimper. Ceci dit, la section de Quimper est plus ancienne qu’elle n’y parait.

La Ligue des Droits de l’Homme (LDH) fut fondée le 4 juin 1898 par Ludovic TRARIEUX (1898-1903) pour défendre un innocent, le capitaine Dreyfus contre l’ETAT et notamment les préjugés, l’antisémitisme et les injustices du haut commandement de son armée.

Depuis cette date, elle est de tous les combats pour défendre:

  • La justice,
  • les libertés,
  • les droits civiques et politiques, les droits économiques, sociaux et culturels,
  • dans sa période plus récente les droits environnementaux.

Depuis son origine, elle a pour genèse sa lutte contre le racisme, et l’antisémitisme.

Depuis 1898, elle a connu 18 Président.e.s, le plus ancien Ludovic TRARIEUX (1898-1903) et  Malik SALEMKOUR dernièrement, depuis les élections de 2017.

I- Un bref aperçu des combats de la LDH pendant ces 120 ans :

  • La période 1898-1900 : elle prend ses racines dans sa lutte contre le racisme et l’antisémitisme de l’époque. Son identité est d’abord « libérale » : protection de la liberté des individus contre la raison d’Etat, affirmation de l’égalité civile, promotion du rationalisme converti en un militantisme laïque.
  • Les années1900-1920 : elle s’engage en faveur de responsables syndicalistes et prend fait et cause pour la défense des droits économiques et sociaux, la justice sociale et les droits des travailleurs.
  • Au lendemain de la 1ereguerre mondiale : elle s’efforce de maintenir le dialogue pour préserver la Paix. De nombreux conflits apparaissent en son sein.
  • Pendant l’entre-deux guerres, elle est à l’initiative d’une vaste campagne pour la réhabilitation des soldats condamnés à tort par les conseils de guerre pendant le conflit.
  • Dans les années 30, elle combat la montée du fascisme et participe activement à la création du front populaire de 1936.
  • Pendant l’occupation et le régime dictatorial de Vichy : elle paie un lourd tribut dont elle aura du mal à se relever.
  • Dans l’après-guerre : elle se consacre aux problèmes liés à la décolonisation.
  • A partir de 1958, elle s’élève contre les pratiques de la Ve République en matière d’institutions et de libertés publiques, engage des combats pour la liberté de la contraception et de l’avortement, l’abolition de la peine de mort et les lois répressives dites « sécurité et liberté ».
  • Dans les années 80 et 90, le rejet des immigrés notamment en France est un souci constant de la Ligue.
  • Les années 2000 -2010, dans un contexte de crise économique et de chômage croissant, elle définit la « citoyenneté sociale » pour lutter contre les nouvelles formes de pauvreté, contre les licenciements abusifs, pour le droit au logement et aux soins.
  • Dans les années 2010, la LDH se consacre de manière prioritaire à la lutte contre les discriminations.
  • Depuis les années 2004/2018, la LDH est très préoccupée par les atteintes aux droits de l’Homme en Europe, à la liberté d’expression, les lois liberticides sous couvert de terrorisme et sans un réel contre-pouvoir, une dérive vers une société de la surveillance, les violences policières (Adama Traoré), la montée des idées portées par les extrêmes droites, la situation des immigrés, les délinquants solidaires,  la pauvreté grandissante, la santé (agir pour un accès universel à des soins de qualité), la bioéthique pour protéger les droits individuels  (l’accès à la PMA pour toutes les femmes). Elle est attentive aux problèmes soulevés par les progrès de la science et des nouvelles technologies notamment au regard des libertés individuelles et collectives qui sont en danger avec la promulgation de nombreuses lois liberticides. Les enjeux du numérique en lien avec la vie privée et les libertés posent de nombreuses questions.

II – Les 120 ans de LDH de Quimper :

Les origines de LDH section de Quimper. Un travail d’archives passionnant  fait par les bénévoles de l’association.

La Fondation

La section de Quimper apparaît dès le premier Bulletin officiel de la Ligue des Droits de l’Homme en 1901 mais nous trouvons dès 1900 un vœu de la section qui proteste contre l’instruction religieuse donnée dans les établissements de l’Etat.

Les premiers animateurs de la section sont des enseignants, instituteurs, professeurs de lycée, répétiteurs, professeurs de philosophie. On peut estimer que la défense de l’école laïque va être le souci principal de la section de Quimper, mais aussi émettra aussi rapidement des vœux à porté sociale par exemple en octobre 1901 : … les besoins des hommes sont les plus pressants au début de leur carrière, lorsqu’ils fondent une famille ou qu’ils viennent en aide à leurs ascendants ; pour ces motifs, la section émet le vœu que le gouvernement s’occupe de réduire progressivement les gros traitements scandaleux pour accroître d’autant les traitements infimes des débutants. »

Mais déjà la guerre approche. La section y perdra son président, également Maire de Quimper de 1912 à 1914, Henri Jacquelin tué au front en septembre 1918.

La section de Quimper n’a pas cessé ses activités durant la grande guerre. Elle se mobilisera des avril  1917 pour la création d’une société des nations qui garantisse au monde, après cette guerre, la stabilité de la paix.

L’après-guerre : le combat pour la réhabilitation de Seznec

A la fin de la guerre, la section s’engage dans le long combat de la réhabilitation des fusillés pour l’exemple en soutenant les victimes des Conseils de guerre.

La section de Quimper« proteste contre la manifestation cléricale de la Fête-Dieu, à laquelle des militaires en tenue ont pris part et demande l’application des lois sur les congrégations et les règlements militaires. »

Entre 1924 et jusqu’au début de la guerre, c’est l’affaire Seznec qui mobilisera les sections finistériennes sous l’impulsion de Marie-Françoise Bosser, fondatrice de la section de la Ligue des droits de l’Homme de Riec sur Belon – Pont-Aven. Auguste Damalix alors président de la fédération du Finistère, de la section de Quimper et membre du comité central de 1936 à 1950 sera lui aussi mobilisé. L’affaire sera ainsi portée lors de nombreux congrès de la Ligue des Droits de l’Homme.

Dans les années trente le spectre de la guerre plane et la section proteste en janvier 1930 « contre l’augmentation des crédits des budgets de la Guerre et de la Marine, et demandent l’affectation de ces crédits aux œuvres de Paix et d’amélioration sociale».

Entre 1939 et 1945, la section suspend ses travaux. Sur le point d’être arrêté par la police du gouvernement de Vichy, son président Auguste Damalix a dû fuir sa résidence et se cacher dans une ferme de mars à août 1944.

Les années 80 : une renaissance suite au projet d’installation d’une centrale nucléaire sur la commune de Plogoff

Le comité régional de la Ligue des Droits de l’Homme, réuni à Guingamp le 27 avril 1980, proteste, à l’occasion des événements survenus à Plogoff lors de manifestations opposées au projet d’installation d’une centrale nucléaire, contre les brutalités policières, le caractère antidémocratique de l’enquête d’utilité publique contre l’avis des municipalités.

Ces événements entraîneront la renaissance de la Ligue des Droits de l’Homme de Quimper à l’initiative de Me Riou, un des avocats des 6 interpellés de Plogoff. Cette période connaîtra trois président-es : Me Bernard Riou, Geneviève Garros et Alain Cacheux.

Lors de sa recréation en septembre 1980, la section adopte une résolution qui met en avant l’importance de « la défense des droits à l’identité, culturelle ou autre, celle-ci doit être assurée avec autant d’énergie , qu’il s’agisse des Français originaires des régions en cause ou des immigrés qui vivent en France, quel que soit leur statut. »

Les premiers thèmes abordés par la section tourneront naturellement autour des questions de justice. La section se concentrera sur des dates à forte valeur symbolique telle que la journée des droits des femmes et la convention des droits de l’enfant. Le bicentenaire de la Révolution Française sera un moment fort, l’occasion de réunir un collectif d’associations pour fêter la déclaration des Droits de l’Homme et du citoyen.

III – 2008 -2018 : Pourquoi célèbre-t-on les 10 ans de la section  LDH de Quimper ?

Après une longue période sans activité, la LDH de Quimper, grâce à l’initiative de la section de Concarneau -Quimperlé, a pu renaître de ses cendres en novembre 2008. Elle fut portée par les militants de l’époque notamment par Martine Chapin (juin-novembre 2008), puis Matthieu Stervinou, élu président à l’assemblée générale de la section LDH de Quimper en novembre 2018.

Depuis cette date 5 présidents se sont succédés : Matthieu Stervinou, Stéphane Lenoël, Stéphane Blondin, Dominique Brunel.

Ses premiers engagements :

  • la protection des données personnelles et des libertés individuelles contre plusieurs fichiers d’Etat : Base élève, Edvige…
  • elle mobilisera dès 2010 contre la vidéo-surveillance en interpellant les Maires de Cornouaille
  • depuis 2015, la section est engagée contre la mise en place d’un Etat d’exception : l’Etat d’urgence

Elle se préoccupe du sort des Sans-Papiers en menant des actions communes avec le collectif Droit d’asile. Elle s’intéresse aux droits civiques des étrangers avec l’organisation de votation citoyenne. Elle sera aussi présente localement sur l’accueil des gens du voyage et reste attentive aux questions de discrimination.

Elle n’oublie pas sa vocation de défense des personnes victimes d’injustice et d’arbitraire et organise des conférences sur l’Etat de la justice en France ou sur le sujet de la rétention à vie.

La section de Quimper initiera plusieurs collectifs regroupant des citoyens, partis politiques, associations et syndicats contre le racisme notamment. La section a appelé à plusieurs reprises à manifester pour la paix en Palestine. Le 11 janvier 2015 à Quimper, suite à l’attentat de Charlie Hebdo, 25000 personnes se sont rassemblées à l’appel de la section.

La section de Quimper est l’une des premières sections de France à s’emparer du sujet des « identitéS » avec des groupes de discussion, d’échange sur le vécu des trans, inter-sexe ou encore des sourds.

Quelle est l’utilité d’une section LDH à Quimper ? Pourquoi devient-on militante ou militant à la LDH ?

Des personnes, d’horizons divers, se reconnaissent dans le socle des valeurs portées par la LDH et veulent s’engager pour :

  • Contribuer à La défense des droits fondamentaux de l’Homme ici et maintenant: se loger, se nourrir, se vêtir, se soigner, s’éduquer, se former, accéder à la culture, aux sports, aux loisirs, au bien-être.

La Conférence des solidarités, la journée du 22 septembre contre les précarités « rendre visibles les invisibles » illustrent l’engagement de la section de Quimper avec la présentation de l’expérience « Territoire Zéro Chômeur » de Pipriac pour faire reculer la pauvreté.

  • Réagir contre les atteintes portées à la liberté individuelle et collective.

Les nombreuses alertes de la LDH sont connues contre le dispositif des « voisins vigilants » et l’efficacité toute relative des vidéo-surveillances pour un coût excessif. Ces actions traduisent cette longue habitude de la LDH à la défendre les libertés.

  • Mener un combat indéfectible pour le respect de la dignité de tous les êtres humains.

La Ldh dénonce inlassablement le non-respect des droits des migrants et les mauvaises conditions d’accueil qui leur sont faites parfois. Alerter les citoyens contre l’esclavage dans le monde et notamment en Libye fait partie des combats qu’elle mène.

  • Lutter contre toutes les formes de discrimination et les préjugés notamment vis-à-vis des populations les plus en difficulté ou vivant dans une grande précarité.

La permanence de la LDH à la MPT de Penhars, tous les mardis (10h-12h), est un lieu d’écoute, de conseils pour rechercher la meilleure des solutions possibles avec les personnes concernées.

  • Agir pour une société de la solidarité, de la coopération, de la bienveillance, du bien-être.

L’organisation de petits déjeuners de la solidarité est une initiative prise parmi tant d’autres pour dire que la solidarité existe et que c’est possible. Ce ne sont pas que des mots.

  • Promouvoir les idées de progrès, de justice sociale, d’égalité, d’émancipation.

Les conférences que nous organisons sur des thèmes sociétaux contribuent à la réalisation de  cet objectif (la Laïcité, l’immigration, le massacre de nombreux peuples dans le monde comme celui de Kurdes  en Irak, la situation en Catalogne..).

  • Faire grandir les idéaux portés par la devise de la République:

Liberté, Egalité, Fraternité dans une République laïque et sociale sont des valeurs portées par la LDH. A Quimper, elle intervient, elle participe à des débats organisés dans les écoles, auprès de toutes personnes ou institutions qui souhaitent aborder l’action de la Ldh et de ses valeurs que sont les droits de l’Homme, valeurs qui se sont construites au cours de ses nombreux combats avec pour fil conducteur l’accès au bonheur pour tous, sans exception, dans le respect et la dignité de chaque être humain.

 

Exposition « 120 ans de la LDH »

Jusqu’au 23 octobre, au Centre des Abeilles, 4 rue du Sergent de Flao – 29000 Quimper

 

Apéro-discussion : 120 ans de lutte pour les droits de l’Homme : Quel bilan ?

au Centre des Abeilles, 4 rue du Sergent de Flao – 29000 Quimper

 

 

Revue de presse : 120 ans de la LDH. Des militants évoquent leur engagement 

Denise Le Bars – Matthieu Stervinou

Dominique Brin – Tangi Louarn

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Conférences des solidarités – Livre blanc

INVITATION À LA JOURNÉE DU SAMEDI 22 SEPTEMBRE 2018 POUR RENDRE VISIBLES LES INVISIBLES : STANDS, CONFÉRENCE DES SOLIDARITÉS + LIVRE BLANC

Les associations humanitaires du pays de Quimper (Horizons nouveaux, le Secours catholique, Emmaüs, la CIMADE, le CACE – Centre d’Animation du Centre Evangélique, Cent pour un toit Cornouaille, la Ligue des droits de l’Homme Quimper – LDH Quimper, un Toit pour Tous) avec l’appui de l’UNADEL (Union Nationale des acteurs du Développement Local) se sont unies pour faire du samedi 22 septembre, une journée pour rendre visibles les invisibles.

Le matin du 22 septembre, des stands de plusieurs associations seront tenus Place Terre aux Ducs de 9h30 jusqu’à 13h.

L’après-midi, un livre blanc, réalisation collaborative des associations, sera présenté au public à 14h, aux Halles Saint-François : chaque association y présente ses actions, ses objectifs et ses besoins ainsi que les souhaits transversaux des différentes associations. Des chiffres concernant la pauvreté sont indiqués.

Après la présentation du livre blanc, deux responsables de « Territoire zéro chômeur » de Pipriac expliqueront la genèse et le fonctionnement de cette structure originale, offrant des CDI à des chômeurs de longue durée.

Suivront des témoignages de personnes connaissant la grande pauvreté et une table ronde réunissant plusieurs responsables politiques sur le thème de la précarité (intervention Conseil départemental du Finistère, Maire de Quimper, association « Territoire zéro chômeur »).

Les associations organisatrices vous invitent à partciper à cete journée, le samedi 22 septembre 2018.

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Projection-discussion « Entre deux sexes »

la LDH Quimper vous invite à la projection-discussion « Entre deux sexes »

le samedi 10 juin 2017, de 14h à 18h
Salle 3, Halles Saint François à Quimper
Entrée gratuite

« Entre deux sexes »: un film documentaire où des intersexes prennent avec fierté leurs différences et revendiquent la reconnaissance de leurs droits dans une société trop normative. Écrit et réalisé par Régine Abadia.

Avec : Vincent Guillot, Ins A Kromminga et les participants de la résidence internationale intersexe de Douarnenez.

Nos invitéEs : Vincent Guillot (co-fondateur de l’OII – Organisation internationale des intersexes) et Christèle Fraïssé (maître de conférence en psycho-sociale à l’UBO de Brest).

Nous avons la chance de présenter ce documentaire en avant-première dans sa version longue.
Pot solidaire en fin de discussion!

+ d’infos sur Facebook (articles de presse, vidéos, photos,…) : https://www.facebook.com/events/1529274530458118/

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Conférence-débat avec Zimako Mel Jones

Le Collectif Citoyens Solidaires du Pays Fouesnantais et la Ligue des Droits de l’Homme de Quimper proposent une conférence-débat avec Zimako Mel Jones, fondateur de l’Ecole Laïque du Chemin des Dunes dans le camp de Calais.

A la fois entrepreneur, bâtisseur et organisateur, Zimako Mel Jones a construit la charpente de l’école, a fédéré les professeurs bénévoles et s’est entouré de nombreux bénévoles français et étrangers. Ce rendez-vous quimpérois sera pour lui l’occasion de nous raconter l’histoire de ce projet solidaire qui lui a valu plusieurs articles dans la presse et reportages télévisés, ainsi qu’une rencontre avec la Ministre de l’Education. Témoin privilégié de la vie au cœur de la « jungle » de Calais, qu’il préfère appeler « forum, il fera le point sur la situation actuelle des enfants et adultes depuis la destruction de la partie sud du camp. Son intervention sera suivie d’un temps d’échange avec le public.

Ce sera aussi l’occasion de rencontrer les différents acteurs associatifs locaux de l’aide aux personnes en exil, qui présenteront leurs actions respectives, ainsi que les moyens pour les citoyens d’apporter leur aide.

Entrée gratuite.

IL SERA AUSSI A DOUARNENEZ, SAMEDI 18 JUIN, A 12H PILE HEURE DU MARCHE, PLACE DES HALLES !

ET A PLOUGUERNEAU LE 19 JUIN !

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Conférence-Débat Laïcité

A l’occasion des 110 ans de l’adoption de la loi du 9 décembre 1905 sur la séparation des églises et de l’Etat, la Ligue des droits de l’Homme de Quimper vous convie à une conférence débat sur la laïcité qu’elle organise le samedi 5 décembre 2015 de 14h à 17h à la maison des sports de Quimper, cité administrative de Ty Nay.
La première partie sera une conférence animée par Jean-Michel Ducomte, avocat et professeur associé, président de la Ligue de l’enseignement, suivie d’une table ronde avec des citoyens de sensibilités philosophiques et religieuses diverses, ainsi que d’un philosophe (David Jousset).
Cette conférence sera l’occasion de réinterroger cette notion de laïcité, ce qu’elle est, n’est pas, d’un point de vue historique et politique, ainsi que les espaces à laquelle elle s’applique (espace public, espace privé, sphère publique, sphère privée). Les tables rondes et débats permettront de s’interroger sur les modalités de faire vivre ce principe, concrétement, dans notre quotidien en lançant un espace de ressources et de médiation.

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